Patrimoine. Des entreprises au chevet des voix d'airain

Patrimoine. Des entreprises au chevet des voix d'airain

Acrobaties pour approcher le gros bourdon de la cathédrale : un beau bébé de 4000 kg. Photo Le Télégramme


Le Gihec, qui regroupe sept entreprises spécialisées dans les cloches d'églises, tenait son assemblée générale ce week-end à Saint-Brieuc. L'occasion de visiter celles de la cathédrale Saint-Étienne.

Peu d'associations peuvent se targuer d'avoir dans leurs rangs sept entreprises classées « patrimoine vivant ». C'est le cas du Gihec (Groupement des installateurs d'horlogerie d'édifices et d'équipements campanaires), qui tenait son assemblée générale ce week-end à Saint-Brieuc, à l'invitation de l'entreprise Alain Macé et de son dirigeant Franck Perrin-Morel, campaniste de renom, qui en a profité pour faire visiter quelques-uns de ses illustres patients à ces professionnels venus de toute la France. Un campaniste, selon la définition arrêtée en 2007, est une personne qui oeuvre à installer, entretenir et réparer les installations de sonnerie des cloches dans les clochers. Auparavant, certes, le métier existait, mais il n'avait pas de nom. Cette profession regroupe moins de 300 personnes en France, au sein de 22 entreprises spécialisées.

Source: Le Télégramme

Mars 2017